IMG_2098
Eupi News

Eupi’s News Vol. 16: Les transfers – Deuxième partie

Après l’effervescence du vernissage et les nombreux échanges passionnés, j’ai poursuivi mes recherches sur le nouveau noyau.

Dans cette deuxième partie, intitulée « Personnalité – C’est l’invisible qui compte », je vous propose d’explorer un aspect souvent sous-estimé mais pourtant central : la personnalité des joueurs.

Ce sont ces traits parfois discrets, ces attitudes en coulisses, qui influencent profondément la dynamique du groupe, la cohésion sur le terrain, et la façon dont chacun trouve sa place. L’objectif : mieux comprendre ce qui reste parfois flou et donner du sens à ce que l’on perçoit sans toujours pouvoir le nommer.

Si vous avez manqué la première partie, pas d’inquiétude — chaque volet peut se lire indépendamment. Et comme toujours, je reste à votre disposition si vous souhaitez en discuter davantage !

Partie 2 : Personnalité – C’est l’invisible qui compte

Le talent, c’est la moitié de la bataille. L’autre moitié ? Le caractère. L’attitude. Les objectifs.

Car une équipe ne gagne pas seulement par sa technique – mais aussi par ses types.

Comment fonctionnent les joueurs en dehors du terrain ?

L’équipe bat la star. Nous en sommes convaincus. Chacun peut vivre librement, mais l’accent devrait toujours être mis sur la santé. Et ce ne serait pas mal non plus si nous pouvions vivre ensemble des valeurs.

Sa personnalité correspond-elle au rôle qu’il doit jouer ?

Des postes différents requièrent aussi des qualités différentes. J’aime voir par exemple un défenseur consciencieux mais un attaquant créatif devant. Le courage de prendre des risques ou de se frayer un chemin sans fioritures se reflète également dans la personnalité individuelle.

Veut-il faire partie de notre idée de jeu – ou simplement briller ?

Honnêtement, nous avons besoin d’une équipe. Mais dans chaque équipe, quelqu’un peut aussi briller. Cela fait plaisir à une bonne équipe. Mais tous doivent aller dans la même direction et, de préférence, être bien coordonnés. Chacun se réjouit aussi quand un collègue répare une erreur et fait quelques mètres pour lui. Celui qui fait cela a le droit de briller. Ou bien ?

Qu’entend-on à son sujet dans son entourage ?

Savoir ne rend pas plus bête. Tout ce que l’on peut apprendre aide à éviter les erreurs. C’est bien là le problème. En règle générale, un défenseur central n’est pas un ailier.

Ce changement est-il une prochaine étape judicieuse dans sa carrière ?

Une carrière se développe mieux si elle est bien planifiée. Si l’AS, c’est-à-dire nous, est le bon partenaire pour le joueur et le meilleur pour le moment, il peut et veut donner le meilleur de lui-même. De bonnes chances d’engagement, mais il doit y avoir un défi à relever pour y parvenir. Vous connaissez la carotte.

Est-ce qu’il bloque peut-être un de nos jeunes talents prometteurs ?

C’est bien sûr un point important ! Le club vit mieux lorsqu’il encourage les bons talents et leur permet de franchir un nouveau cap dans leur carrière. Il n’y a donc pas de sureffectif aux postes. Mais la même chose s’applique ici. La carotte doit être accrochée au bon endroit.

On ne cherche pas de rois individuels. L’AS recherche des joueurs qui sont prêts à faire partie d’une équipe. Même si cela signifie parfois : ne pas engager un grand talent ou un bon footballeur.